Loading...

La vision de PGA est de contribuer à la création d'un ordre international fondé sur le respect des règles pour un monde plus équitable, sûr, durable et démocratique.

Burkina Faso et la peine de mort

Le Burkina Faso est abolitionniste depuis le 31 mai 2018, lorsque l’Assemblée nationale a adopté un nouveau Code pénal abolissant la peine de mort pour tous les crimes ordinaires. Une nouvelle Constitution, qui prévoit également l’abolition de la peine capitale, est en préparation.

Le Burkina Faso a ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques en 1999 mais n'a pas encore adhéré au Deuxième Protocole facultatif sur l’abolition de la peine de mort (ICCPR-OP2).


26 février – 1er mars 2019: Hon. Reine Sakandé, députée du Burkina Faso et membre du Parlement de la CEDEAO, et Présidente du groupe national de PGA au Burkina Faso, a assisté au 7ème Congrès mondial contre la peine de mort, organisé par Ensemble contre la peine de mort (ECPM) à Bruxelles (Belgique).


1-2 juin 2018 : En collaboration avec Ensemble contre la peine de mort (ECPM) et Culture pour la paix et la justice (CPJ), PGA a organisé à Kinshasa (RDC) un séminaire parlementaire régional intitulé « L’abolition de la peine de mort en Afrique : le rôle des parlementaires ». Cet évènement a eu lieu au lendemain du vote historique de l’Assemblée nationale burkinabè abolissant la peine de mort. Hon. Reine Sakandé, membre de PGA, était présente et s’est engagée à faciliter l’adoption de la nouvelle Constitution et à appeler le gouvernement à ratifier le Second protocole facultatif pour l’abolition de la peine de mort (ICCPR-OP2).


19-20 décembre 2016 : Les associations partenaires de PGA,  Ensemble contre la peine de mort (ECPM) et la Fédération des Actions des Chrétiens pour l'abolition de la torture (FIACAT), ont organisé un atelier sur l'abolition de la peine de mort à Ouagadougou (Burkina Faso), auquel de nombreux membres de PGA d'Afrique de l'Ouest ont pris part. L'Honorable Reine Sakandé, membre de PGA, s'est alors engagée à ce que « en 2017, le Burkina Faso abolira la peine de mort ».