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Liban et la peine de mort

Le Liban est un pays rétentionniste mais applique depuis 2004 un moratoire. En 2018, au moins 5 personnes ont été condamnées à mort.

De plus, des hommes politiques de premier plan ont en 2017 appelé à la résomption des exécutions. Bien que le Liban ait ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques en 1972, mais n’a pas encore ratifié le deuxième Protocole facultatif sur l'abolition de la peine de mort Peine de mort (PIDCP-OP2).


26 février – 1er mars 2019 : Hon. Georges Okais, membre des commissions Administration et justice, Affaires étrangères, et Droits humains, et membre de PGA , a assisté au 7ème Congrès mondial contre la peine de mort, organisé par Ensemble contre la peine de mort (ECPM) à Bruxelles (Belgique).


22 juin 2017 : A la suite des déclarations faites par le Ministre de l’Intérieur, Nouhad al-Mashnouq, appelant à l’utilisation effective de la peine de mort au Liban, les Membres de PGA et Coordonnateur.ice.s du Program Droit international et droits humains, Hon. Barbara Lochbihler (eurodéputée, Allemagne) et Hon. Kula Segaran (Malaisie) ont envoyé une lettre à Hon. Ghassan Moukheiber, Membre de PGA, afin d’offrir aux parlementaires libanais souhaitant lutter contre la résomption des exécutions le soutien de PGA.